20 déc. 2007

Puteaux en neige ouvrira du 22 Décembre au 6 Janvier

Une année de plus et 1Million d’euros en moins, Puteaux en neige fera rêver les enfants cette année encore.
Le Modem de Puteaux s'interroge sur l'attribution d'une telle somme à un événement de deux semaines.
La municipalité n'aurait-elle pas pu trouver des sponsors pour cette attraction afin que cela coûte moins cher aux Putéoliens et que l’argent ainsi économisé puisse contribuer à l'effort collectif sur des projets qui restent prioritaires, l'éducation, l'environnement, le dynamisme économique, etc?
A noter que cette manifestation est gratuite pour les Putéoliens avec la carte Pass (carte d’identité et justificatif de domicile). En même temps, je pense que les Putéoliens n'auraient pas été ravis d'avoir à payer une seconde fois l'événement, étant donné que c'est à la source qu'ils ont été prélevés, à raison de 50€ par habitant environ.

AlexisV et RobertB

17 déc. 2007


Pour comprendre la ville de Puteaux voici le site de CCR

http://puteauxpourtous.blogspot.com/

Très instructif merci

16 déc. 2007

Velib bientot ?


Voici la carte des futurs emplacements de Vélib.

La mairie de Paris prendrait en charge le coût d'installation et de fonctionnement évalué à 7 millions d'euros par an.Le projet doit être validé lundi 17 décembre par le Conseil de Paris. Lancé le 15 juillet 2007, le dispositif Vélib' compte aujourd'hui 10.600 vélos répartis sur 1.200 stations.Les villes concernés sont Saint-Denis, Aubervilliers, Pantin, Le Pré-Saint-Gervais, Les Lilas, Bagnolet, Montreuil, Vincennes, Saint-Mandé, Fontenay-sous-Bois, Nogent-sur-Marne, Joinville-le-Pont, Saint-Maurice, Charenton-le-Pont, Ivry-sur-Seine, le Kremlin-Bicêtre, Gentilly, Arcueil, Montrouge, Malakoff, Vanves, Issy-les-Moulineaux, Boulogne-Billancourt, Saint-Cloud, Suresnes, Puteaux, Neuilly-sur-Seine, Levallois-Perret, Clichy-sur-Seine, et Saint-Ouen.

14 déc. 2007


Municipales: Bayrou se prononce pour un "partenariat" avec Juppé à Bordeaux

François Bayrou s'est prononcé jeudi en faveur d'un "partenariat" entre le MoDem et la liste UMP du maire de Bordeaux pour les municipales, au motif qu'Alain Juppé est "un bon maire" et que les membres du MoDem actuellement dans son équipe ne veulent pas "se désolidariser".
"Etant donné l'attitude de l'UMP à Pau et celle de M. Sarkozy, j'avais toutes les raisons de ne pas faire ce geste. Mais je ne mène pas de politique de +vendetta+", a lancé le président du MoDem lors d'un point presse à Bordeaux.
Selon lui, Alain Juppé est "un homme qui peut donner l'impression de rapports abrupts avec les gens mais je sais qu'il a bon coeur. C'est un bon maire (...) et Bordeaux, une des villes qui a le plus changé, a gagné en beauté, en équipements et en renom", a-t-il estimé.
La "deuxième raison" qui a conduit le président du MoDem à "envisager un mandat avec Alain Juppé" vient du fait que ses "amis membres de son équipe pendant son mandat ne voulaient pas se désolidariser", a-t-il expliqué.
Après avoir envisagé de créer une liste MoDem, une décision "où beaucoup d'adhérents y auraient trouvé leur compte", M. Bayrou a jugé au final que "beaucoup auraient manqué de sincérité en disant que le bilan de M. Juppé n'était pas bon".
Récusant le terme d'"accord" avec le maire de Bordeaux, François Bayrou a préféré celui de "partenariat". "Je ne veux pas donner le sentiment de dosage ou de marchandage, car dosage ou marchandage il n'y a pas eu", a-t-il martelé.
"Quand on a une équipe municipale qui se tient, un maire qu'on respecte, il est légitime qu'on le dise", a encore estimé M. Bayrou, qui se dit persuadé que "l"électeur de Bordeaux regarde Alain Juppé comme son maire et pas comme un chiraquien, en tout cas pas comme un sarkozyste".
C'est également "l'intérêt d'Alain Juppé que le MoDem apparaisse dans son équipe", mais François Bayrou lui conseille de sortir "d'une certaine inhibition, d'une certaine timidité. Il faut qu'il réussisse à montrer l'homme qu'il est", a-t-il pointé.
Affirmant avoir "de bonnes relations" avec le socialiste Alain Rousset, François Bayrou a souligné que le rival de M. Juppé pour les municipales était président du conseil régional: "il y a là une répartition des rôles qui n'est pas mauvaise pour Bordeaux", a-t-il jugé, exprimant "un sentiment d'équilibre".

11 déc. 2007

Une liste autonome à Lyon


Contrairement à ce qu'avait laissé entendre Michel Mercier, le président du Modem affirme qu'il y aura bien une liste centriste au premier tour des municipales à Lyon.

Interrogé par nouvelobs.com, François Bayrou a déclaré : "Il n’est pas envisageable qu’on ait fait tout ce processus de désignation de notre tête de liste, qu’on ait mobilisé tous nos militants, qu’on les ait écoutés, pour ensuite retirer cette liste que Christophe Geourjon, notre candidat désigné, est en train de monter ". Et le président du Modem d'ajouter : "Il y aura une liste autonome Modem qui défendra ses chances et qui permettra à tous les Lyonnais qui ne se reconnaissent ni dans le système du maire sortant Gérard Collomb, ni dans la liste Perben-Millon, de s’exprimer."Bref, après le retrait surprise d'Azouz Begag de la course à l'investiture Modem, qui dénonçait au passage les pressions et les manipulations de Michel Mercier, c'est au tour de François Bayrou lui-même de prendre position contre le patron de la fédération du Rhône, qui cache de moins en moins sa proximité avec l'UMP.

4 déc. 2007

Le MoDem en chiffres
Le Mouvement démocrate (MoDem) en quelques chiffres:
ADHERENTS
Le MoDem revendique 70.000 adhérents. Les 32.000 encartés de l'UDF sont devenus automatiquement adhérents du nouveau parti ce week-end. S'y ajoutent 45.000 personnes ayant adhéré au MoDem depuis l'élection présidentielle. Selon Eric Azière, chargé des élections, 10% des sympathisants sont adhérents aux deux formations. Deux partis ont adhéré au MoDem en tant que personnes morales, l'UDF -dont l'existence juridique a été maintenue pour une période transitoire de trois ans- et Cap 21 de l'écologiste Corinne Lepage.
ELUS
François Bayrou ne dispose plus de groupe à l'Assemblée nationale depuis les dernières législatives. Trois députés seulement sont encartés MoDem: M. Bayrou lui-même, Jean Lassalle (Pyrénées-Atlantiques) et Abdoulatifou Aly (Mayotte). Vingt-sept des 30 sénateurs du groupe Union centriste ont adhéré au MoDem, ainsi que la plupart des 11 députés européens UDF. Le Modem compte quatre présidents de conseils généraux, Jean Arthuis (Mayenne), Michel Mercier (Rhône), Jean-Jacques Lasserre (Pyrénées-Atlantiques) et Joseph Kerguéris (Morbihan) et "700 à 800 maires", selon M. Azière.
BUDGET
L'UDF avait touché en 2006 autour de 4,6 millions d'euros au titre du financement public des partis politiques. Le MoDem disposera d'un budget "globalement identique", selon Jacqueline Gourault, sénatrice du Loir-et-Cher. Les 535 candidats MoDem ont obtenu 1.981.121 voix au premier tour des législatives, ce qui rapportera mécaniquement un peu plus de trois millions d'euros par an au parti. Le reste du financement est proportionnel au nombre de députés et sénateurs.

21 nov. 2007

La Médiathèque en questions


Alors que Madame le Maire, lors du conseil municipal du 6 octobre, annonçait l'inauguration du Palais de la Médiathèque en janvier 2008, nombreux sont les Putéoliens se remémorant les travaux incessants, les délais allongés, les dates de livraison repoussées, les retards accumulés.

Déjà, le 6 février 2007, la Chambre régionale des comptes d'Ile-de-France publiait dans son rapport sur la gestion de la commune de Puteaux un chapitre entier sur le constat d' « une maîtrise insuffisante de la programmation des marchés », citant parmi d'autres l'exemple du marché de la médiathèque (« Des coûts non maîtrisés : le marché de la médiathèque »).

Ainsi, les ressentis des Putéoliens se trouvent validés par des remarques très parlantes :
- « De juin 1998 à octobre 2002, date d'adoption par le conseil municipal du dossier projet, le programme a été modifié quatre fois, le plus souvent dans des délais très brefs. Ceci dénote une insuffisante étude des besoins. » On y découvre que le bâtiment qui devait initialement comprendre une galerie d'art et une salle de conférence accueillera en réalité deux salles de cinéma, une bibliothèque-médiathèque et un espace d'exposition.
- Alors que le coût prévisionnel était estimé à 5,8 millions d'euros en 1999, le marché a été réellement attribué à 18,2 millions d'euros en 2005. Cette augmentation est en partie due à la modification des façades vitrées que la commune justifie par la volonté d'améliorer « la signature architecturale ». Le rapport conclue que « si ce changement avait été décidé au stade de l'avant-projet définitif et non à sept mois de la fin des travaux, elle aurait été bien moins coûteuse. »
- Enfin, le rapport conclut que la fin des travaux été prévue en octobre 2006.

Le Mouvement Démocrate de Puteaux condamne la gestion approximative de la municipalité. La ville se repose sur son aisance financière actuelle sans tenir compte de la gestion changeante de La Défense. La gestion financière doit être plus responsable et raisonnable.

Le Puteaux d'aujourd'hui me rappelle les entreprises lors de la crise économique des années 90. Elles vivaient dans l'excès, avec le même train de vie que lors des années fastes. Elles comprirent qu'il devenait nécessaire de mettre fin au gaspillage irresponsable. Les services des achats devinrent rois pour mettre fin aux excès dans lesquels étaient tombées les entreprises.

Contrairement à ce que peuvent dire d'autres personnes, il ne s'agit pas de se « couper les jambes », de mettre fin à toute activité du domaine du bien-être, du loisir et de la vie sociale, il s'agit simplement, comme chaque habitant s'évertue à le faire dans son propre foyer, de ne pas jeter en l'air l'argent du contribuable, sous le seul prétexte que l'argent coule aujourd'hui à flot.

19 nov. 2007

Rue Cartault: de pire en pire


De plus en plus fréquent: rebelote, nous déplorons des vitres de voiture brisées rue Cartault...

Nous nous interrogions sérieusement la semaine dernière...nous nous inquiétons franchement désormais...

14 nov. 2007

Des éléphants à Puteaux pour Noël


Amis putéoliens, vous avez pu remarquer que la mairie a déjà installé les décorations de Noël dans la ville: guirlandes lumineuses, éléphant géant (sic) sur la place Stalingrad, mairie transformée en château de la belle au bois dormant...
Pour la modique somme de plus d'un million d'euros....

Quand on sait que la ville de Strasbourg, ville de lumières, connue pour son remarquable (et très touristique) marché de Noël, dépense 700 000€, le fait que Puteaux en dépense près du double laisse rêveur...

Si vous vous demandiez comment le budget de la ville était géré, voilà un élément de réponse!
Des paillettes, encore des paillettes, toujours des paillettes!

12 nov. 2007

Les briseurs de vitre ont encore frappé rue Cartault

Cela semble devenir la norme rue Cartault: une fois de plus, dans la nuit de samedi à dimanche, deux voitures se sont retrouvées avec une vitre cassée.

Le MoDem de Puteaux s'interroge: quid de la mise en place de la vidéosurveillance, spécialement dans ce quartier ou ce n'est pas la première fois que ce genre d'incident ce produit?

Que fait la police? Les habitants de ce quartier se demandent si le cas de cette rue est vraiment pris au sérieux par la mairie.

Il est temps de réagir.

10 nov. 2007

Marathon de N.Y


Je vous remercie pour vos encouragements qui m’ont porté tout le long de ces 42Km. J’ai le plaisir de vous annoncer que j’ai terminé cette course en 3h37, ce qui m’a permis de terminer 5460ème sur pratiquement 38 000 participants.
Comme dirait Pierre de Coubertin, «L'important dans la vie, ce n'est point le triomphe, mais le combat. L'essentiel n'est pas d'avoir vaincu, mais de s'être bien battu.».
Rendez-vous… le 6 avril 2008 pour le Marathon de Paris…..
Sportivement,
Franck Lévèque

7 nov. 2007

Douces chimeres...

Il fut un temps où Puteaux était une cité commerçante et prospère. Qui, parmi les anciens, ne se souvient des trottoirs encombrés et joyeux du Boulevard Richard Wallace ? Du marché de Puteaux si pittoresque qu’il faisait venir toutes les villes à la ronde ? De l’animation et de la gaîté des rues du centre ville ? Une ère manifestement révolue : Puteaux s’est doucement endormie sous le balancement de ses feuilles de palmiers…

La faute à la Défense ? Peut être, car le déploiement d’une métropole commerciale moderne à grande échelle, attractive, pourvoyeuse en parkings et animations festives était de nature à malmener les centres villes traditionnels, peu préparés à ces compétitions féroces. Et pourtant… Une volonté politique aurait suffi ! Nanterre et Courbevoie ont été tout aussi malmenées que nous par la « révolution » de la Défense. Loin de l’auteur l’envie de vanter la gestion communiste de Nanterre ou les péripéties sans fin de celle de Courbevoie… Avec leurs talents et malgré leurs défauts, elles ont su préserver (au moins dans le centre ville pour Nanterre) leur dynamisme commercial, leur visage composite et leur vie de quartiers. En un mot, elles n’ont pas vendu leur âme à la Défense… Avec un beau pragmatisme, quand l’élévation de la Défense avançait à coup de destruction des zones voisines, elles ont laissé place à l’imagination, trouvant de la richesse dans la diversité, utilisant le ressort du tissu local, gardant tant bien que mal un pied dans la consultation. Elles ont réussi à maintenir un équilibre raisonné entre passé et avenir, concertation et politique urbaine pendant que Puteaux s’enfermait dans la planification centralisée du bonheur selon les Ceccaldi…

Toujours plus beau, toujours plus grand, toujours plus neuf ! La période était propice : en l’espace de vingt ans, la population de Puteaux s’est profondément renouvelée. Aux constructions nouvelles, on a accroché des réverbères dignes des plus belles collections. On a jonché les trottoirs de granit et marbres divers, engrillagés les jardins, posé des fontaines aux nouveaux carrefours, supprimé les parkings, gagné la bataille des palmiers sur les trottoirs ... On a travaillé l’emballage : c’est fait, on n’en dira rien de plus. Mais pendant qu’on se faisait un Puteaux à coup de rêves à la Orwell, que sont nos commerces devenus ? Et notre centre ville ? Où faisons-nous nos courses ? Où avons-nous plaisir à faire nos courses ?

Quand on rend la parole à nos commerçants, l’humeur n’est pas à l’ovation : désenchantement et résignation, impuissance et lassitude donnent le ton... D’un haussement d’épaules, ils renvoient les questionneurs à leur naïveté. L’association des commerçants ? Une évocation lointaine, l’histoire d’une longue dépendance à la ville qui s’est retournée contre eux… Les promesses de parking ? On n’a rien vu venir. Une politique concertée ? Oui, entre le maire et le maire. Des perspectives pour le commerce ? Vous plaisantez ? Seules les agences bancaires fleurissent ici. Parlons plutôt des fermetures… Un motif d’espérance ? Silence sidéral...

Et dans les quartiers ? Compte-tenu du morcellement de Puteaux, on avait là une belle occasion de renforcer la vie des quartiers en encourageant les commerces de proximité ? Une poignée d’irréductibles Putéoliens s’est d’ailleurs longtemps battue pour cela … La ville a répondu : « je vous ai compris ! ». Au final : des représentants de quartiers « élus » par le maire à grand renfort de publicité, un immobilisme obstiné, une inertie organisée… A qui profite le « crime » ?

La vérité, puisqu’il en faut en ces temps pré-électoraux, c’est qu’une ville n’est pas un sapin de Noël où un maire, plutôt joli, vient accrocher ses guirlandes et imposer les caprices d’un avenir aussi rose que sa robe. Une ville vit, bat, respire, palpite dans des lieux, des centres, des artères. Les commerces en sont le coeur et le poumon : pour les personnes âgées et celles qui le deviendront, les familles, les célibataires, les handicapés, les communautés diverses de Puteaux… Rien n’exprime mieux le visage, l’identité et l’âme d’une ville. Rien ne rompt davantage l’isolement. Rien ne rend plus simplement la joie de vivre qu’une rue animée et prospère. Qui n’a déjà été réchauffé, à un moment d’abattement, par le sourire d’un commerçant ?

Pour cela, pas de secret et quelques ingrédients : écouter, réunir, échanger, dialoguer, négocier, le tout dans un ensemble qui s’appelle une politique d’urbanisation commerciale, dont le seul attendu n’est pas le bon plaisir de l’élu, mais le bienfait des commerçants et la qualité de vie de toute une ville. C’est un projet vital qui ne peut reposer que sur la concertation, un travail d’équipe - élus, citoyens, commerçants – dans lequel il n’est pas interdit de d’apporter une vision, un projet et une intelligence ! Nul ne peut se prévaloir de penser à notre place…!

Rêveries d’un jour d’automne ? Chimères ?
Et si demain, c’était possible ?

31 oct. 2007

Nicolas Sarkozy retoque le financement du Nouveau Centre

AFP-Le Figaro : "C’est un camouflet pour Hervé Morin et les membres du Nouveau Centre. Nicolas Sarkozy a expliqué mardi matin, lors d’un petit déjeuner avec les responsables de la majorité, qu’il refusait que la proposition de loi du parti centriste, qui vise à abaisser les seuils nécessaires pour qu’une formation politique bénéficie d’un financement public, soit de nouveau discutée à l’Assemblée, du moins pour le moment"...pour le moment, tu parles... c'est un vrai coup de poignard dans le dos, un enterrement de première classe... qu'ajouter à la terrible épitaphe présidentielle ??? Rien... "et ce rien nous dévore" comme aurait dit Pauwels... De profundis Morinibus...

Le Figaro.fr en oublie de faire relire ses articles avant mise en ligne... quand Judith W. va s'en rendre compte... elle va s'en prendre aux collègues !



26 oct. 2007


Les congres UDF/MoDem se dérouleront du vendredi 30 Novembre au dimanche 2 décembre 2007 à Villepinte(seine saint Denis ).

Pour plus d'infos

24 oct. 2007

un à zero pour le Modem




Un report au petit goût de revanche pour François Bayrou: les débats tournant à l'orage mercredi dans l'hémicycle sur la proposition de loi ouvrant au Nouveau centre le droit au financement public des partis politiques, le gouvernement a préféré reporter la suite de l'examen de ce texte, sans fixer de date à ce stade.
La matinée a été agitée à l'Assemblée lors de l'examen de ce texte déposé par le Nouveau centre pour permettre à une formation ayant 15 députés (le NC en a 21) d'accéder à la manne publique de 80,3 millions d'euros, que se partagent chaque année divers partis. Mardi, le gouvernement avait annoncé l'inscription de ce texte en urgence à l'ordre du jour des travaux des députés, un fait rare.
En vertu de la loi du 11 mars 1988, il faut actuellement recueillir au moins 1% des voix aux législatives, et présenter des candidats dans au moins 50 circonscriptions. Des conditions que le NC n'a pas remplies lors des législatives des 10 et 17 juin derniers.
En rupture de bans avec ses anciens camarades ralliés à l'UMP, François Bayrou est monté au créneau pour défendre une motion de procédure. "C'est la première fois depuis que la Ve République existe qu'on voudrait voter une loi pour le bénéfice matériel et financier d'un parti politique qui n'a pas réussi à obtenir les voix nécessaires", a-t-il tempêté. "Les lois ad hominem sont interdites!".
Le fondateur du MoDem a dénoncé le caractère rétroactif du texte. "C'est une rupture du principe d'égalité, parce que vous allez avantager des partis qui n'ont pas rempli les conditions fixées par la loi précédente, au détriment de partis qui les ont remplies ", s'est-il indigné, menaçant de saisir le Conseil constitutionnel.
Il a également évoqué le coût du texte, qui "entraînera inévitablement une aggravation de dépenses", exigeant que la commission des Finances soit saisie. "C'est à périmètre financier constant, il n'y a donc absolument pas d'aggravation de la charge publique", lui a répondu Roger Karoutchi, secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement, au nom du gouvernement.
Il s'en est fallu de peu que la motion de procédure de François Bayrou soit adoptée, le PS étant venu en masse, au point de surpasser en nombre des députés UMP visiblement embarrassés par le texte.
Très remontés, les députés PS ont multiplié les manoeuvres dilatoires, faisant claquer leurs pupitres dans le plus grand chahut. Dans les couloirs, les journalistes ont assisté à une très franche explication entre Henri Emmanuelli (PS) et Jérôme Chartier (UMP).
Voyant le vote de son texte menacé, le patron des députés NC François Sauvadet a demandé la vérification du "quorum" (majorité des députés présents), artifice de procédure qui permet surtout de suspendre la séance pour rameuter au plus vite des troupes.Au final, Roger Karoutchi a préféré reporter la suite de l'examen du texte, regrettant "autant d'excès de tous côtés". Mais pas question, a-t-il assuré au Nouveau centre, d'enterrer le texte: il sera "naturellement" inscrit "à l'ordre du jour prioritaire par le gouvernement", a-t-il promis

23 oct. 2007

Du cirque et des jeux à Puteaux ?




A la fin de l’empire romain, les incertitudes du temps se pansaient dans les jeux du cirque : festivités autour de l’arène, distribution de nourriture, jeux et débordements, fastueuses mises en scène… Plus le pouvoir politique était fragile, et plus on abreuvait les foules de vivres et de spectacles.

Loin de l’auteur l’idée d’oser transposer cette recette vieille comme le monde sur Puteaux ! On peut toutefois s’interroger pour savoir si la tentation ne nous effleure pas un peu… En l’espace de quelques années, en effet, Puteaux n’est-il pas devenu un immense EuroDisney ? « Rêvez, et nous transformerons votre rêve en réalité »… Le plus court chemin du bonheur semblant être celui du plaisir, Puteaux multiplie les enchantements : cirque, pistes de ski, plages tropicales, réceptions, loisirs à gogo, conservatoires,voyages planétaires subventionnés, lieux de vacances, cadeaux, décorations de rues, avalanches de fleurs et de fontaines… Tel un oisillon blotti dans son nid, le putéolien n’a plus le temps d’exprimer son désir qu’il est déjà assouvi. Et tout cela, parce que nous le valons bien ?

Ce cadre féérique ne manque pas de susciter des jalousies alentour… Quelle commune avoisinante ne rêverait pas, à l’heure de l’intercommunalité, de partager cette abondance ? Nul doute que ce Puteaux Eldorado est regardé avec envie par des villes où un sou est un sou, et où le gagner est plus difficile que de le dépenser. Tant mieux pour nous : nous avons donc fait le bon choix ! Et quitter Puteaux est source de grande souffrance pour ceux qui doivent alors affronter la réalité économique du « vivre sans » les douceurs de la tarification, de la gratuité et de l’abondance locales…

Sommes-nous les victimes consentantes d’une stratégie politique d’ »assoupissement » ? Etre « nourri » avant même d’avoir faim aiguise-t-il l’esprit citoyen ? Les ors des palais de Puteaux bruissent des consignes venant du château : « rendez les heureux ! », aurait dit la chatelaine à ses équipes de professeurs, tout en augmentant la précarité de ces derniers qui ne cachent plus leur désarroi à leurs élèves. « Ne leur refusons rien !» psalmodient les secrétaires en entassant les dossiers de dérogation, les priorités personnelles, et - certains disent même- les passe droits… « Montrons leur le frais minois de la jeunesse » affichent les cohortes de jeunes collaboratrices inexpérimentées appliquées à reproduire le look rose barbie de leur édile. « Allumons Puteaux de tous ses feux » nous indique le déploiement commencé, dès la mi octobre, des guirlandes qui brilleront dans nos rues de la Toussaint à Pâques pour faire de notre vie une vraie fête ! Même la police municipale semblerait s’être mise de la partie en mettant un bémol sur ses tournées de verbalisation…

Ah la belle vie ! Ah la belle ville ! C’est bien vilain que la presse se moque à ce point de notre famille régnante. Bien vilain aussi les rumeurs sur le manque de démocratie locale, l’absence de vie associative, la gabegie et l’insuffisance de gestion, les doutes exprimés par des membres de l’équipe municipale. Que se cachent les Cassandre qui évoquent l’exigence de développement durable, le manque de transparence des comptes, l’absence d’innovation sociale, le clientélisme, la politique de « dame patronnesse », la discrimination…

Il fait si bon vivre à Puteaux ! Et il faudrait encore penser ??

C.

22 oct. 2007





François Bayrou a affirmé dimanche "qu'il n'aurait pas pris" dans un gouvernement Bernard Laporte, qui prend lundi ses fonctions de secrétaire d'Etat aux sports alors que l'ex-entraîneur du XV de France est soupçonné d'irrégularités fiscales.
"Je ne l'aurais pas pris parce que je n'aime pas l'utilisation de ses fonctions pour faire de l'argent", a déclaré le président du Modem .
On apprend aux enfants à être des amateurs, on apprend aux enfants à respecter les règles du jeu et pendant ce temps vous avez des kyrielles de contrats de publicité qui viennent ainsi être signés", a argumenté M. Bayrou.
Il a également présenté comme de la "récupération politique mise en scène" l'annonce en juin de la nomination différée de Bernard Laporte au gouvernement tout comme la lecture de la lettre de Guy Môquet à l'équipe de France par l'entraîneur.
"Je n'ai pas du tout aimé, même détesté la récupération politique du rugby. La récupération politique d'un sport est toujours le signe d'une démocratie qui fonctionne mal", a jugé M. Bayrou. Il y a vu l'illustration de "ce manque de respect des principes de la République dont nous sommes tous les jours spectateurs".

20 oct. 2007

Bayrou: la réforme des régimes spéciaux ne réglera pas le problème des retraites

Le président de l'UDF-MoDem, François Bayrou, a estimé mercredi qu'il ne fallait pas croire que la réforme des régimes spéciaux allait à elle seule "régler le problème des régimes de retraite" et il a jugé "légitime" que les salariés défendent "un certain nombre d'acquis".
Interrogé sur le mouvement de grève prévu jeudi contre la réforme des régimes de retraite, M. Bayrou a jugé sur RTL qu'"il est normal et légitime" que les salariés défendent "un certain nombre d'acquis, un certain nombre de dispositions du contrat qu'ils ont signé".
"Tout le monde voit bien que devant le déséquilibre des régimes de retraite il faut faire quelque chose", a-t-il ajouté, mais "on ne peut pas prétendre que les régimes spéciaux vont à eux tout seuls régler le problème des régimes de retraite".
Selon lui, "on aurait pu aller plus loin et prendre un autre chemin qui n'a pas été retenu par le gouvernement, celui d'un régime de retraites par points où l'on aurait pris en compte les années passées sous le statut (ndlr, de régimes spéciaux) par les agents" concernés.
"On aurait alors pu défendre de vrais droits pour les retraités, ce qui pour l'instant n'est pas le cas. C'était une remise à plat du système. On n'en a pas voulu", a déploré M. Bayrou.

19 oct. 2007

Humour...


L'argent du beurre...

Aujourd'hui est un grand jour pour le Nouveau Centre. En notre nom, Francois Sauvadet a déposé une proposition de loi pour nous permettre d'obtenir le financement public auquel notre mouvement a légitimement droit. Depuis des semaines, nous en sommes réduits à demander l'aumône à nos sympathisants, à ruser avec la loi pour envoyer notre courrier, à nous terrer au deuxième sous-sol de l'Assemblée, à utiliser des vieux fichiers d'adhérents UDF pour susciter des adhésions... Ce n'est plus possible. Nous avons besoin d'argent... et vite ! Les travaux de la rue de Grenelle sont presques finis et le bailleur nous demande la "caution des parents"... mais Hervé n'est pas très en faveur auprès de Papa Nicolas (et maman est partie). Nous avons vraiment besoin d'une allocation d'indépendance d'autonomie... L'Etat doit nous aider !

Des problèmes rue Cartault


Dans la nuit du 17 au 18 octobre, rue Cartault, trois voitures ont vue leur vitre brisée .


Cela n’est pas la première fois que cela arrive à Puteaux... La vidéosurveillance mise en place par la mairie devrait servir à éviter ce genre d'incident, quid de son utilisation.


Dans ce quartier de Puteaux, la délinquance est en augmentation, il suffit pour le constater d'observer chaque matin le nombre de voitures à la vitre brisée.



Le MoDem de Puteaux trouve bien dommage qu’il n’existe plus de ronde à pied de la police municipale et que celle-ci ne passe pas plus souvent, notamment dans ces quartiers (parking parc Offenbach...)

18 oct. 2007

Mais qui va représenter le MoDem de Puteaux...au marathon de New-York?!


Nous connaissions déjà sa volonté, sa détermination politique lorsqu'il fallut s'élever contre certaines injustices dans notre ville.

Il a couru ce week-end les 20 Kms de Paris avec les pompiers de Paris en 1h33, soit une moyenne de pratiquement 13 Km/h. Les connaisseurs apprécieront la performance !

Quel est son prochain challenge ? Ni plus ni moins que le Marathon de New York qui se déroulera le 4 novembre, et qu’il pense pouvoir boucler en 3h40.

Je lui ai demandé si la préparation était soutenue ou non. Il se prépare depuis 5 mois, court 6h par semaine (plus de 70 Km), et en raison de son emploi du temps chargé se lève à 5h30 du matin pour s’entraîner.


Toute l'équipe du MoDem de Puteaux souhaite bon courage à Franck LEVEQUE pour ce marathon.

17 oct. 2007




Attention : les Congrès se dérouleront du vendredi 30 novembre au dimanche 2 décembre 2007 à Paris !

Congrès UDF le vendredi 30 novembre (journée entière).
Congrès Mouvement Démocrate le samedi 1er décembre (journée entière) et le dimanche 2 décembre (le matin).

L'endroit n'est pas encore connu .
Plus d'infos bientot.

Pour François Bayrou, l'affaire UIMM est "le signe d'une énorme décomposition" de la vie publique
Le président de l'UDF-MoDem, François Bayrou, a estimé mercredi que l'affaire des retraits de fonds suspects sur des comptes de l'UIMM était "le signe d'une énorme décomposition de la vie publique, sociale et politique en France" et qu'il fallait que "la lumière soit faite vite".
"Sous cette affaire, il y a le signe d'une énorme décomposition de la vie publique, sociale et politique en France. C'est pourquoi il faut que la lumière soit faite vite, que la transparence soit la règle dans cette enquête, que l'on puisse savoir à qui ont été été attribuées les sommes astronomiques" prélevées sur les comptes de l'UIMM, a déclaré M. Bayrou sur RTL.
Selon lui, "ces comportements sont non seulement archaïques mais profondément déstabilisateurs, destructeurs du lien de confiance dans la société".
Il a certifié que "jamais un euro n'a été attribué" à l'UDF par des organisations patronales.

AFP

12 oct. 2007

Municipales: l'UDF-Modem accorde une première série de 41 investitures




L'UDF-Mouvement démocrate (MoDem) a publié jeudi une première série de 41 investitures pour les élections municipales de mars 2008, parmi lesquelles Paris, Lille et Reims, au lendemain d'une réunion de sa commission électorale nationale.
Cette première série d'investitures sera suivie d'autres listes dans les prochaines semaines, la commission électorale devant se réunir tous les mardis, a indiqué l'un de ses membres, Eric Azière, chargé des élections à l'UDF-MoDem.
Comme prévu, Marielle de Sarnez, conseillère de Paris, sera la chef de file du MoDem dans la capitale, face à Françoise de Panafieu (UMP) et au maire PS sortant Bertrand Delanoë.
A Lille et à Reims, les listes MoDem seront menées respectivement par l'ancien député Jacques Richir, conseiller régional, et par le député européen Jean-Marie Beaupuy.
François Bayrou lui-même, qui a indiqué "réfléchir" à une candidature à Pau, n'a pas confirmé ses intentions.
Dix-sept maires sortants ont été investis, parmi lesquels Jean-Marie Vanlerenberghe (Arras), Didier Borotra (Biarritz), Jean-Jacques Jegou (Le Plessis-Trevise) et Olivier Henno (Saint-André-lez-Lille).
Des têtes de liste ont également été investis à Aix-en-Provence, Saintes, Besançon, Chartres, Grenoble, Clermont-Ferrand, Tarbes, Poitiers, Limoges.
La commission électorale a par ailleurs entériné le principe d'une liste MoDem au premier tour à Lyon et Marseille, mais sans accorder d'investiture, a indiqué M. Azière.
François Bayrou se rendra prochainement à Lyon, ville où l'UDF n'a aucun élu et où Anne-Marie Comparini, qui était la tête de liste pressentie, a annoncé le mois dernier son retrait de la vie politique. Il y rencontrera les candidats à la candidature, l'ex-ministre Azouz Begag et la conseillère régionale Anne-Sophie Condemine.
Le leader centriste doit également se rendre à Bordeaux prochainement.
La commission électorale est composée de 12 personnes, parmi lesquelles le président du MoDem François Bayrou, les députés européens Marielle de Sarnez, Bernard Lehideux, Jean-Luc Bennahmias (ex-Vert), les sénateurs Michel Mercier et Jacqueline Gourault, et la présidente de Cap 21 Corinne Lepage.

(AFP)

11 oct. 2007

L' éléction municipale aura lieu le dimache 9 et 16 Mars 2008 pour Puteaux ...

Sondage: Bayrou en tête des personnalités que les Français voudraient voir entrer au gouvernement
François Bayrou arrive en tête des personnalités "d'ouverture" que les Français souhaiteraient voir entrer prochainement au gouvernement, selon un sondage Ifop que publie "Paris Match" cette semaine.
Le fondateur du MoDem est cité par 52% des sondés et 31% le citent en premier (les sondés pouvant donner deux réponses). Il devance l'ancien ministre socialiste Jack Lang, cité par 44% au total, et qui est cité en premier par 27% et l'ancien ministre de Lionel Jospin Claude Allègre (21%, 13%).
Suivent l'ex-ministre et écologiste Corinne Lepage (20%, 6%), l'ancien ministre de François Mitterrand Hubert Védrine (12%, 6%), son ancien conseiller Jacques Attali (12%, 4%), l'ancien ministre socialiste Michel Charasse (9%, 3%), le député socialiste Manuel Valls (6%, 2%) et l'ancien porte-parole de Ségolène Royal durant la présidentielle Julien Dray (5%, 2%).
- sondage Ifop réalisé par téléphone les 4 et 5 octobre auprès d'un échantillon national représentatif de 1.007 personnes âgées de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas. AP

10 oct. 2007

Bayrou : la diaspora des députés centristes ralliés à Sarkozy "ne durera pas"




François Bayrou, président de l'UDF-MoDem, a estimé mardi à propos des députés centristes ralliés à Nicolas Sarkozy que "cette diaspora des élus qui ont choisi de se précipiter dans la majorité ne durera pas".
"Le temps viendra où il y aura, au niveau parlementaire, des passerelles, des regroupements.
Selon M. Bayrou, "cela prendra du temps", mais "le jour viendra où les rassemblements seront à l'ordre du jour". Il faut "le temps que tout le monde s'aperçoive de la réalité de l'expérience qui est en cours", a-t-il expliqué.
Le député des Pyrénées-Atlantiques, l'un des quatre députés MoDem, a critiqué la politique économique du gouvernement ni "juste" ni "efficace", citant en particulier le paquet fiscal voté l'été dernier. Selon lui, "ce choix compromet les réformes parce que la condition de la réforme, c'est la justice". "La condition pour que tout le monde accepte des efforts, c'est la certitude que ces efforts sont équitablement répartis. Quand les efforts ne sont pas équitablement répartis, il y a des réticences et des résistances très fortes", a-t-il fait valoir.
Il a ainsi jugé que la défiscalisation des heures supplémentaires, entrée en vigueur le 1er octobre créait des situations "inéquitables" entre salariés.

PARIS (AFP

9 oct. 2007







Le président du MoDem François Bayrou estime qu'il faut "réformer d'urgence" la gouvernance d'EADS, dans un entretien au Parisien publié mardi.
Selon M. Bayrou, il faut "réformer d'urgence cette gouvernance d'entreprise et inscrire dans la Constitution l'interdiction d'avoir des groupes de presse appartenant à des puissances économiques en rapport avec l'Etat". "Je déposerai un texte en ce sens dès cette semaine auprès de la commission Balladur", ajoute-t-il.
A propos du scandale qui frappe EADS, il parle d'"un délit d'initiés à grande échelle". "C'est aussi une affaire d'Etat puisque les parts du groupe Lagardère ont en partie été rachetées au prix fort par la Caisse des dépôts, entraînant des centaines de millions d'euros de pertes sèches", déclare-t-il.

8 oct. 2007

Mieux Vivre à Puteaux "

François Bayrou dans son discours de clôture du Forum des Démocrates à commencé par ces quelques mots : " La question est celle-ci : est-ce que l’offre politique qui a été proposée aux Français jusqu’à maintenant, est-ce que cette offre est suffisante ? Est-ce que cette offre est satisfaisante ? Est-ce que l’UMP, version Nicolas Sarkozy, le Parti socialiste, comme les deux choix obligatoires, avec autour d’eux un nombre limité de satellites sans grande importance… Est-ce la bonne réponse aux attentes de notre peuple, aux attentes présentes, aux attentes à venir ? "Pour nous à Puteaux la réponse est NON.
C’est pour cette raison que la section du Mouvement Démocrate de Puteaux a décidé de présenter une liste aux Municipales de Mars 2008. Bien entendu, nous ne nous présenterons pas devant les Putéoliens sans un programme ambitieux pour notre ville. C’est pour ces raisons que nous avons déjà mis en place plusieurs commissions qui travaillent afin d’établir celui-ci.Mais nous n’avons pas le monopole des idées, des actions qui participeraient à mieux vivre à Puteaux et régler les problèmes de la vie de tous les jours, c’est pour cette raison que nous vous invitons à nous rejoindre pour d’une part œuvrer au sein de ces commissions et d’autre part faire partie de cette liste.
La liste du Mouvement Démocrate sera une liste pluraliste et de rassemblement.On entend sur notre droite et notre gauche des sollicitations pour des rassemblements inédits, cela fait bien longtemps qu’il n’y a pas eu toutes ces sollicitations !
Il est fini le temps ou l’UDF-Mouvement Démocrate était une liste d’appoint, les 22% de Putéoliens qui ont voté pour le programme de François Bayrou aux présidentielles attendent autre chose.
Aussi, nous invitons ces hommes et femmes à rejoindre dès maintenant la liste du Mouvement Démocrate.
Une liste où sera défendue en priorité l’idée d’une démocratie de plein exercice, dans laquelle les intérêts de TOUS LES CITOYENS seront défendus.Si vous souhaitez contribuer à ce projet et nous faire part de vos idées démocrates, n'hésitez pas à envoyer un email à modemdeputeaux@gmail.comLa section du Mouvement Démocrate de Puteaux

7 oct. 2007


Manifestation de soutien aux démocrates birmans : une deuxième révolution orange !

Samedi 06 octobre 15h00, avenue George V. Dans cette artère du VIII ème arrondissement peu habituée aux manifestations d’opinion et aux mouvements de foule, quelques dizaines de démocrates se sont réunis pour apporter leur soutien pacifique aux démocrates birmans. Des hommes et de femmes de tous bords, de toutes origines, de tous horizons, de toutes croyances, tant il est vrai que la liberté n’a pas de parti : elle n’a que des partisans. Des anonymes, parmi eux, parmi nous, trois personnalités : François BAYROU, Marielle de SARNEZ, Jean-Marie CAVADA mais aucun(e) autre dirigeant(e) d’autre formation.
Les responsables du MODEM, les militants, toutes celles et ceux qui ont souhaité par leur simple présence apporter leur soutien aux opposants à la junte birmane…personne ne tente de récupérer l’initiative. Tout juste la volonté sincère, humble aussi, et surtout naturelle, de montrer que les valeurs humanistes du MODEM, et dont nous ne prétendons pas avoir le monopole, sont défendues partout ou elles doivent être.
Mettre en application dans le quotidien de la rue ce que nous avons défendu durant la campagne et dans les médias, ce n’est pas une obligation, c’est un devoir.

Celles et ceux, membres d’associations, citoyen(ne) s anonymes qui se sont déplacés à cette occasion méritent toute notre estime.

S.L

5 oct. 2007

Manifestation samedi 6 octobre

L'UDF-Mouvement Démocrate a décidé de se joindre à l'initiative de l'association Info Birmanie, et de participer à la manifestation organisée samedi à Paris, afin de demander à la Chine de mettre un terme à son soutien politique, financier, et militaire à la junte birmane qui fait obstacle à la résolution du problème birman.

François Bayrou, président de l'UDF-Mouvement Démocrate, et Marielle de Sarnez, Présidente de la Fédération de Paris, participeront à cette manifestation.

Le rendez-vous est fixé :
samedi 6 octobre 2007 à 15 heures devant l'ambassade de Chine à Paris11, avenue Georges V, 75008 ParisMétro : Alma- Marceau (ligne 9)

En espérant vous y retrouver nombreux,

Les équipes UDF-Mouvement Démocrate de Paris et de Puteaux

3 oct. 2007

Moderation

Nous sommes passés à la modération des commentaires, à regret, car plusieurs personnes( prenaient un malin plaisir à laisser des commentaires illisibles et/ou insultants.
Quant au programme, nous travaillons dessus depuis plusieurs mois, chaque membre de la section étant dans une ou plusieurs commissions.

Les moderateurs du blog.

2 oct. 2007

Le conseil Municipal est annulé...


Aujourd'hui à 19 h 00 avait lieu le Conseil Municipal et comme à notre habitude plusieurs représentants du Mouvement Démocrate étaient présents.

Il est fort dommage que 20 Conseillers Municipaux et Maire adjoints de la majorité n'aient pas décidé d'en faire autant
... En effet faute d'avoir atteint le quorum Madame Le Maire Joëlle Ceccaldi et son Conseils n'ont pu délibérer!

Ce qui s'est passé ce soir est significatif :
La Maire est-elle désavouée par sa propre majorité et pourquoi ? Les membres élus par nous Putéoliens ont-ils oublié "tout simplement" leur devoir et leur engagement ?
La séance est levée, à suivre . . . Samedi matin à 9h.

Dans tous les cas cela ne peut recommencer pour un mandat supplémentaire !

Stephane

1 oct. 2007

" Mieux Vivre à Puteaux "


François Bayrou dans son discours de clôture du Forum des Démocrates à commencé par ces quelques mots : " La question est celle-ci : est-ce que l’offre politique qui a été proposée aux Français jusqu’à maintenant, est-ce que cette offre est suffisante ? Est-ce que cette offre est satisfaisante ? Est-ce que l’UMP, version Nicolas Sarkozy, le Parti socialiste, comme les deux choix obligatoires, avec autour d’eux un nombre limité de satellites sans grande importance… Est-ce la bonne réponse aux attentes de notre peuple, aux attentes présentes, aux attentes à venir ? "

Pour nous à Puteaux la réponse est NON.

C’est pour cette raison que la section du Mouvement Démocrate de Puteaux a décidé de présenter une liste aux Municipales de Mars 2008. Bien entendu, nous ne nous présenterons pas devant les Putéoliens sans un programme ambitieux pour notre ville. C’est pour ces raisons que nous avons déjà mis en place plusieurs commissions qui travaillent afin d’établir celui-ci.

Mais nous n’avons pas le monopole des idées, des actions qui participeraient à mieux vivre à Puteaux et régler les problèmes de la vie de tous les jours, c’est pour cette raison que nous vous invitons à nous rejoindre pour d’une part œuvrer au sein de ces commissions et d’autre part faire partie de cette liste.

La liste du Mouvement Démocrate sera une liste pluraliste et de rassemblement.

On entend sur notre droite et notre gauche des sollicitations pour des rassemblements inédits, cela fait bien longtemps qu’il n’y a pas eu toutes ces sollicitations ! Il est fini le temps ou l’UDF-Mouvement Démocrate était une liste d’appoint, les 22% de Putéoliens qui ont voté pour le programme de François Bayrou aux présidentielles attendent autre chose. Aussi, nous invitons ces hommes et femmes à rejoindre dès maintenant la liste du Mouvement Démocrate. Une liste où sera défendue en priorité l’idée d’une démocratie de plein exercice, dans laquelle les intérêts de TOUS LES CITOYENS seront défendus.

Si vous souhaitez contribuer à ce projet et nous faire part de vos idées démocrates, n'hésitez pas à envoyer un email à modemdeputeaux@gmail.com


La section du Mouvement Démocrate de Puteaux

Haiba Ouaissi


le candidat Modem du Val D'oise ( un jeune avocat de 30 ans ) a fait dimanche dernier un score trés honorable 12, 25% , aux élections cantonnales anticipées Il est troisiéme et en position d'arbitre .
Encore une fois BRAVO...

RIONS UN PEU..


Nouveau Centre contre UMP
A nos détracteurs qui ne voient en nous que des supplétifs de l'UMP, le Nouveau Centre apporte le plus flagrant démenti. Le Nouveau Centre, membre de la majorité estime que le projet de budget “n’est pas raisonnable” et n'hésite pas à le dire ! Et nous ne nous arrêtons pas là !
A Rodez, dans l'Aveyron, deux élus du NC refusent de faite liste commune avec la candidate UMP et propose une alliance...au MoDem ! Vous n'y croyez pas ? Ca parait énorme, surtout après les fracassantes déclarations d'Hervé.Bon, en fait, c'est un peu plus compliqué...Et il faut bien suivre :Examinons les faits : les deux élus en question sont des "transfuges récents" de l'UMP, en délicatesse avec la candidate UMP autoproclamée. Ils ont proposé une alliance à la déléguée départementale du MoDem, qui… l’a acceptée. Mais apparemment cette décision a été prise sans concertation avec les militants Modem qui se désolidarisent de leur déléguée....Selon une source bien informée, la manœuvre est en fait très claire : "l’UMP est incapable de battre le PS sans le NC et/ou le MoDem"...mais le hic, c’est que cette alliance est un coup de bluff. Les deux élus font simplement monter les enchères pour la candidate UMP et obtenir une meilleure place."
Décidément, la cuisine électorale aveyronaise a le même parfum que la cuisine électorale normande !


Un site satirique à visiter http://nouveaucentre.hautetfort.com/
LE NOUVEAU CLUB DE LA PRESSE DE LATÉLÉLIBRE
http://www.latelelibre.fr/
François BAYROU,président de l’UDF-MODEM,sera le premier invité de émission
“Sous les pavés…” présentée par John Paul Lepers.
Ce premier numéro sera enregistrémardi 2 octobre et mis en ligne dans la nuit
du mardi 2 au mercredi 3sur LaTélélibre.fr

29 sept. 2007

Bayrou à Pau ? Qui à Puteaux ?


Le président du Modem, François Bayrou, député des Pyrénées-Atlantiques, est candidat à demi-mot à la mairie de Pau: «Je réfléchis, les gens m’en parlent. Je donnerai ma décision en temps voulu, probablement au milieu de l’automne. Pour moi, il ne s’agit pas d’une décision strictement politique. C’est la décision d’un homme et d’une cité. Cette ville me tient à cœur, il y a un enjeu affectif. C’est absurde que les villes soient gérées en fonction d’étiquettes. A Pau, il y a une attente. C’est ma ville. Elle a besoin de retrouver son optimisme, son élan et sa fierté.»
Pour nous à Puteaux rien ne presse le suspense continue.....Mais nous vous assurons de notre présence lors des prochaines éléctions.

27 sept. 2007

Les bons élèves de Monsieur Sarkozy


Notre nouveau Président connaît très bien notre département. Et pour cause ! Ancien maire de Neuilly, il fut également député, et a donc eu à traiter de sujets aussi large que l’éducation dans le département.

Bons élèves que nous sommes, la ville de Puteaux se veut en phase avec les affirmations du Président Sarkozy concernant le devenir des fonctionnaires du pays. Sans rentrer dans le détail des mesures proposées, celle de la meilleure répartition des effectifs nous a paru intéressante. Qui plus ait dans le domaine – justement – de l’éducation nationale.

A l’heure où les rapports ne cessent d’accabler les professeurs, en pointant le taux d’échec scolaire anormalement élevé (40% dans le primaire), les 15% d’élèves passant en sixième sans maîtriser les bases fondamentales de la lecture, de l’écriture et du calcul, les 160000 jeunes qui sortent chaque année su système scolaire sans diplôme, il n’est pas facile de tirer des conclusions, qui seraient certainement hâtives.

Mais lorsqu’on regarde de plus près la situation de Puteaux, avec modestie mais curiosité, une chose peut frapper : contrairement à nos voisins de Neuilly,de Suresnes et de Nanterre, pourquoi les agents territoriaux spécialisés des écoles municipales (ATSEM) ne « sévissent » que dans les classes de petites section maternelles à Puteaux ? Pourquoi les classes de primaire, du CP à la 6ème, n’ont pas le droit elles-aussi à un surcroît de personnel ?

Si l’une des raisons est évidemment celle du manque de personnel à ce niveau ( dans une classe de petite section de maternelle, l’ATSEM malade depuis la rentrée n’a toujours pas été remplacée), la question de la meilleure répartition se pose évidemment.

Si l’éveil se fait en petite section, si ces trois premières années sont fondamentales dans le développement et dans la sociabilisation des enfants, n’est-ce pas en primaire que les fondamentaux (lecture, calcul et écriture) s’apprennent ? N’est-ce pas là également que les professeurs des écoles ont besoin de plus de dans des classes de 25 élèves ? N’est-ce pas à cet âge que le besoin de soutien pour individualiser leurs approches dans des classes de 30 élèves ? N’est-ce pas à cet âge que le besoin de discipline se fait sentir ? N’est-ce pas dans ces mêmes cours de récréation que les enfants s’empressent de jouer aux jeux dangereux (du foulard ou de la tomate), dont on connaît les conséquences, et auxquels ils s’adonnent sous les regards débordés des professeurs ?

Bien sûr, cette question des ATSEM et de la répartition des fonctionnaires ne résout pas tout. Mais si l’on pouvait commencer par cette remise à plat de bon sens, alors peut-être que les choses commenceront à bouger dans nos écoles putéoliennes. C’est ce que souhaite le Mouvement Démocrate de Puteaux.

AlexisV

Hervé Morin (Nouveau Centre) exclut tout retour vers François Bayrou


Le président du Nouveau Centre Hervé Morin a estimé "inenvisageable" tout retour de son parti, formé par les élus de l'ex-UDF ralliés à la majorité de Nicolas Sarkozy, vers l'UDF-MoDem de François Bayrou, dans un entretien à paraître dans le Journal du Dimanche.
"Tout retour en arrière est inenvisageable. Le Nouveau Centre incarne le centre droit. François incarne une alternative franche à Nicolas Sarkozy. Il n'y pas de croisement possible entre ces deux lignes", a déclaré M. Morin.
"Le MoDem se situe aujourd'hui plus sûrement dans l'opposition que le PS lui-même. J'ai entendu le discours de François Bayrou la semaine dernière: la sévérité des attaques qu'il a proférées contre Nicolas Sarkozy fait de lui un opposant majeur", a ajouté le ministre de la Défense.
"François Bayrou, qui table sur l'affaiblissement grandissant du PS, fait toujours le pari de l'emporter en passant par la gauche. Il ne l'a pas assumé au moment des législatives en 2007, il sera obligé de le faire en 2012", a-t-il pronostiqué.
Evoquant les municipales de 2008, Hervé Morin, qui se positionne "dans la majorité, sans ambiguïté", a indiqué que son mouvement chercherait "un accord, partout où ce sera possible, pour établir des listes communes avec l'UMP".
Le Nouveau Centre, qui tient sa journée parlementaire jeudi, revendique 4.000 adhérents et compte 20 députés (et un apparenté) à l'Assemblée.
AFP

Budget 2008 budget de rigueur


Bayrou: le budget 2008 sera "nécessairement un budget de rigueur"


François Bayrou a affirmé mercredi que le budget 2008 serait "nécessairement un budget de rigueur, qu'on l'annonce ou qu'on ne l'annonce pas".
"La réalité rattrape toujours la fiction,"les illusions, ça ne tient pas: on fait beaucoup de promesses, on fait rêver les électeurs et puis le moment vient où on est obligé de faire face aux réalités"", a déclaré M. Bayrou
"La situation de la France est telle que le premier ministre a été amené à dire que l'Etat est en faillite", a-t-il ajouté, soulignant "la contradiction très forte" entre cette situation et "les choix qui ont été faits au début" du quinquennat de Nicolas Sarkozy.
Ils ont été faits "comme si tout allait bien et comme si on pouvait multiplier les cadeaux fiscaux en direction de ceux qui étaient déjà les plus favorisés dans notre pays", a poursuivi M. Bayrou.
"J'aurais préféré de beaucoup que l'on fasse en sorte que le pays prenne conscience plus tôt de la situation réelle du déficit et de la dette", pour que l'on ait "une politique courageuse" pour "remettre en ordre notre maison", a-t-il poursuivi.
Interrogé sur la défiscalisation des heures supplémentaires, le député des Pyrénées-Atlantiques a estimé qu'elle "se révèlera au bout du compte une illusion parce que tout le monde n'y a pas accès".
Certains, a-t-il expliqué, "peuvent faire des heures supplémentaires parce que leurs entreprises se portent bien et il est légitime qu'ils en fassent, mais leurs voisins" employés dans des entreprises en difficulté, "eux, vont devoir payer (des impôts) sans diminution".
"Faire des cadeaux fiscaux à ceux qui peuvent les recevoir et ne pas en faire aux autres, de manière que la charge va être injustement répartie, cela ne me paraît pas l'orientation à privilégier", a-t-il déclaré.

PARIS (AFP)

25 sept. 2007

Rencontre




Lors d’une entrevue la semaine dernière au Palais Bourbon, les deux hommes ont convenu de se rencontrer demain à huis clos à l’Assemblée afin de discuter du meilleur moyen pour les forces d’opposition de peser sur le cours des événements. «Nous ne sommes ni dans la connivence, ni dans la manœuvre en vue d’hypothétiques alliances, précise François Bayrou, à l’initiative du rendez-vous. Ce n’est pas l’objet. Nous sommes les uns et les autres hors du pouvoir, et donc beaucoup plus sensibles au déséquilibre intolérable de nos institutions.» Opposants et pas nés de la dernière pluie. «S’il veut réformer la Constitution, Sarkozy a besoin d’un consensus politique et numérique», confie Bayrou à Libération.
Maigres troupes. Calculette en main, le PS relativise l’analyse : la gauche parlementaire ne dispose pas du nombre de sièges suffisant pour bloquer les ambitions élyséennes. A eux tous, le PS, les Verts, le PCF, les radicaux et le MRC ne détiennent que 358 des 908 sièges au Congrès (Assemblée nationale et Sénat). En d’autres termes, il s’en faut de cinq voix pour que la gauche puisse aligner les deux cinquièmes des suffrages qui font veto. Du coup, malgré de maigres troupes, le Modem peut rêver de jouer les arbitres entre la gauche et la majorité présidentielle. «Sauf débauchages individuels qui seraient mal perçus s’agissant d’une réforme constitutionnelle, Nicolas Sarkozy a besoin des voix des uns ou des autres, admet le député des Pyrénées-Atlantiques. Pour ma part je ne trouve pas intéressant d’aller négocier par en dessous. Mieux vaut discuter ouvertement et poser des problèmes de fond.»
Demain, Hollande et Bayrou vont donc confronter leur point de vue sur deux grands thèmes : le pluralisme et la séparation des pouvoirs.
Excès. Le premier sujet est le plus consensuel : au nom de la représentativité de la Nation, le PS comme le Modem, sont favorables à la révision du mode d’élection des sénateurs et à l’introduction d’une dose de proportionnelle aux législatives pour corriger les excès du scrutin majoritaire.
Une suggestion qui se heurte à la farouche opposition de plusieurs ténors de l’UMP, dont le président de l’Assemblée, Bernard Accoyer. Entre PS et Modem, la nécessité de renforcer l’indépendance de la justice et le pouvoir du Parlement (via la maîtrise de son ordre du jour) ne font pas non plus débat.
Ce n’est en revanche pas le cas d’une modification constitutionnelle à laquelle tient Sarkozy : la possibilité pour le chef de l’Etat de venir s’adresser directement aux députés dans l’hémicycle. Hollande, qui est reçu aujourd’hui par la commission Balladur, est violemment contre. Pas Bayrou : «Je n’en fais pas une question de principe», admet-il.
Par Nathalie Raulin

19 sept. 2007


Anne-Marie Comparini, ancienne présidente UDF du Conseil régional de Rhône-Alpes, annonce qu'elle ne sera pas candidate aux élections municipales à Lyon et qu'elle se retire de la vie politique.


"Je ne partirai pas aux municipales", déclare la dirigeante centriste, aujourd'hui membre du MoDem de François Bayrou, dans un entretien au quotidien Le Progrès.
"Je termine mon parcours politique, je souhaite retourner dans la vie professionnelle", ajoute-t-elle, précisant qu'elle terminera son mandat de conseillère régionale.
L'ancienne attachée parlementaire de Raymond Barre avait été propulsée sur le devant de la scène politique en 1999 en se faisant élire à la tête de la région avec les voix de la gauche. L'élection du RPR Charles Millon, soutenu par le Front national, venait d'être invalidée.
En 2002, cette proche de François Bayrou avait été élue député de la première circonscription de Lyon, mandat qu'elle a perdu aux dernières législatives face à l'UMP.
Elle s'était également retrouvée au coeur d'une polémique déclenchée par l'UMP Patrick Devedjian la traitant de "salope".
Le MoDem, pour qui les municipales seront un nouveau test électoral, espérait qu'Anne-Marie Comparini porterait ses couleurs au printemps prochain.
"Si je regrette sa décision, je la comprends parce qu'elle est dans la droite ligne de son engagement politique. Elle fait ce qu'elle dit comme nous l'avait appris Raymond Barre", déclare le sénateur Michel Mercier, président de l'UDF-Modem du Rhône, dans un communiqué.
"Elle est un exemple d'engagement citoyen et je souhaite qu'elle trouve désormais d'autres façons de vivre ses valeurs et ses fidélités".

17 sept. 2007

Je t'aime moi non plus....


Elizabeth Pineau et Laure Bretton
(Reuters) - A quelques mois des municipales, les états-majors du Parti socialiste et du MoDem ont fixé des règles en vue d'éventuelles alliances électorales qui pourraient être mises à mal au niveau local.
Martelée par François Hollande depuis la fin de l'été, la feuille de route socialiste apparaît largement plus contraignante que les consignes édictées dimanche par François Bayrou.
En clôturant le Forum démocrate dans les Landes, l'ancien candidat centriste à la présidentielle a réaffirmé la "ligne d'autonomie" de son nouveau parti sans fermer la porte à des accords locaux.
Les candidats MoDem auront le droit former des "listes de rassemblement" avec tout élu, PS ou UMP, qui s'engagera à respecter le pluralisme pour créer des majorités "pas sectaires".
Les yeux rivés sur les sept millions d'électeurs ayant voté Bayrou au premier tour de la présidentielle, le PS a fixé trois conditions à ces alliances: accepter le rassemblement de la gauche, rejeter la politique de Nicolas Sarkozy et travailler à un projet commun.
Cela revient à demander à François Bayrou de choisir entre droite et gauche, ce qu'il avait refusé de faire entre les deux tours de la présidentielle, quand Ségolène Royal lui avait tendu la main.
"ACUPUNCTURE"
En privé, François Hollande est persuadé que le "troisième homme" de la présidentielle 2007 ne viendra pas vers le PS tant qu'il entretiendra l'espoir d'être à nouveau candidat en 2012.
La question des alliances "ne se pose pas à nous mais au MoDem", commente un député socialiste, agacé qu'on fasse à nouveau "exister" François Bayrou après l'expérience de mai dernier et le face-à-face télévisé avec Ségolène Royal.
Pour les municipales, "les consignes parisiennes ne marchent pas", tranche le politologue Dominique Reynié. "Vous avez toute une série d'élus locaux qui veulent préserver leur situation, tenter leur chance ou faire un 'coup' en interne. C'est le pragmatisme qui prévaut".
De plus, les Français semblent apprécier "d'attirer à soi des membres de l'autre camp", ajoute-t-il. "Sarkozy le fait, donc c'est difficile de ne pas le faire".
Si elles relèvent avant tout de considérations locales, les alliances électorales avec le centre auront des conséquences sur la rénovation engagée par le PS après trois échecs présidentiels consécutifs, ajoute Dominique Reynié.
"Le PS va devenir social-libéral par acupuncture. Chaque commune où il y a une liste avec le MoDem sera un point de traitement", prédit-il.
Dans plusieurs grandes villes emblématiques, les édiles socialistes lancent donc des ballons d'essais. A Lyon, Gérard Collomb ne cache pas son intention de discuter au niveau local avec le MoDem pour conserver la ville, qu'il a ravie... aux centristes en 2001.
Egalement tenté, son voisin de Grenoble, Michel Destot, réclame des discussions sur des "propositions concrètes" entre appareils politiques dont il dénonce "l'énorme paresse".
"GARE A LA CASSE!"
En se lançant dans la course la semaine dernière à Marseille, Jean-Noël Guérini a promis de former une équipe pas seulement socialiste, "avec des gens différents" notamment "des personnalités de la mouvance Bayrou".
Comme le PS, qui est également engagé dans des discussions avec les Verts et les communistes, François Bayrou, qui envisage une candidature à Pau, a besoin d'alliances des deux côtés, souligne Dominique Reynié.
A la fin de l'année, une fois les listes déposées, il faudra "autant compter les rapprochements avec le PS qu'avec l'UMP" pour "valider" la stratégie autonomiste du député béarnais, explique l'analyste.
Selon Eric Azière, chargé des élections au sein du parti de François Bayrou, l'UDF comptait 800 maires sur 36.000 communes en 2001. Depuis, certains centristes ont rejoint l'UMP, d'autres le MoDem ou bien le Nouveau centre.
Aux législatives, le MoDem n'a fait élire que quatre députés contre 22 au parti d'Hervé Morin, désormais associé à l'UMP.
D'où une certaine fébrilité dans les rangs du camp Bayrou à l'approche des municipales où certains craignent une nouvelle migration d'élus centristes vers le parti majoritaire. Des alliances nouées trop vite avec la gauche pourraient les effrayer.
"Un grand nombre d'élus s'interrogent et mon souhait est qu'il y en ait un minimum qui partent", explique Didier Bariani, chef de file du MoDem au conseil de Paris. "C'est vrai pour les municipales à venir et aussi par la suite. Gare à la casse!".


voici le lien pour le discours de cloture


16 sept. 2007


Bayrou présente le MoDem comme un outil de "résistance" au modèle dominant


M. Bayrou a exposé sa ligne pour les municipales de mars 2008: que le MoDem soit "présent dans le plus grand nombre de villes de façon indépendante au premier tour". Mais il y aura "des cas où on devra, y compris avant le premier tour, envisager des majorités de rassemblement".
François Bayrou est hostile à l'existence de courants. Ce serait "la mort", car "quand vous faites un parti à courants, les énergies sont mobilisées pour la bataille interne", a-t-il fait valoir.
"Nous porterons un seul nom: le Mouvement démocrate", a-t-il dit. "Dire centre, c'est se définir par rapport à la droite et la gauche, nous, nous sommes démocrates".
Face aux interrogations sur la greffe entre les anciens adhérents, venus du centre-droit, et les nouveaux, issus en partie de la gauche ou des Verts comme le député européen Jean-Luc Bennahmias, M. Bayrou a affirmé "qu'avoir des parcours différents, c'est une richesse pour travailler ensemble, pas un handicap".
AFP